(Salle du Trône) Première Réception

Télamon salua la première Condottièri ainsi que Panoptès la suivant de près...

Après un discours ponctuait de sincérité, le gouverneur prit la parole à son tour.

Condottièri Enyalios Anairês,

Votre dévouement pour la gouvernance de Sâr reste notable et je saurais faire appel aux Condottières si nécessaire.
J'ai moi même combattu les flottes de Gora le Boucher et ainsi les Condottières reviennent avec sa tête en libérant le poids de piraterie, de cet infâme individu, de nos contrées.

Edénia est une priorité et il est clair que nous devrons assurer la sécurité de ses habitants. Le Gouverneur Enée vous avait promis une récompense pour la tête de Gora... Vous disposerez de celle-ci comme convenu. Tout travail mérite paiement, les responsabilités d'Enée m'incombent tout autant après sa mort.

Port Sâr remercie les Condottières et les salue.

Télamon remercia les femmes en armures, les guerrières Edéniennes loyales à Port Sâr. Le gouverneur regarda le seigneur Ascagne et le convia à approcher pour quelques mots discrets... Le bruit de raclement fut couvert par le bruit de la salle, le temps que le serviteur annonce la personne suivante.

La salle était emplie de couleurs, d'armures, de dames et de marchands ventripotent ou aux accoutrements exotiques. Un brouhaha de chuchotements semblait monter entre chaque annonce et le sujet le plus important semblait se concentrer sur le chef de guilde des Fils d'Edénia ainsi que la mort de Gora le Boucher, pirate sanguinaire.

Traversant l'allée durant toute la réception, faisant des allées et venues, Jansen, Garde Sârien du palais, regardait et écoutait. Le long manteau blanc de la Garde faisait surgir le fait qu'elle était l'élite de l'Armée Coloniale. Formée par le seigneur Ascagne, elle démontrait un dévouement sans faille au gouverneur et à la capitale d'Edénia.
Jansen s'était arrêté lors de l'insulte d'Angelo Di Torrebruna, prêt à obéir aux ordres du gouverneur si nécessaire... Télamon avait été clément, percevant apparemment le ridicule de son geste et le fait que la gouvernance ne s'était point pris une gifle, mais que le chef de guilde avait perdu de son image de haut chevalier en une phrase... Un mal beaucoup plus grand.

Qu'importe, Jansen avait déjà pris soin de remettre à leur place quelques marchands et chevaliers alors qu'ils se croyaient tout permis dans la palais même. Ici l'autorité de la Garde était grande et Jansen n'avait pas froid au dos.

Tout d'un coup il se retourna alors qu'il venait de s'approcher de la porte de la salle du trône pour repartir vers les escaliers menant aux balcons. Le regard flamboyant, la main posée sur le pommeau de son épée, il resta figé pendant quelques secondes... Le raclement qu'il percevait ne présageait rien de bon...
Sans prévenir il sortit silencieusement de la salle en prenant deux gardes de la salle avec lui. Jansen s'en occuperait personnellement...

Un jeune homme aux longs cheveux d'eben, un bandage sur les yeux s'approchait de la porte doucement dans sa main gauche une une longue canne trainait sur le sol et lui permettait d'eviter les gardes... Quand il arriva parmis tout les convives il continua d'avancer, bousculant ça et la Enyalios ou la magnifique Doreen... Il s'approchait du gouverneur...

Puis il tappa sur le sol, provoquant ainsi un bruit sec et metallique...Puis d'une voie forte claire:

Hum Y aurait-il ici quelqu'un qui pourrez m'expliquer ou je pourrais rencontrer cet homme à la langue de vipère qui parla sur la place tout à l'heure? Cet homme qui n'est rien... Ce malotru qui ce permet de se proclamer gouverneur... Frère du bas peuple luttons contre l'abomination de la noblesse, et luttons pour rendre le pouvoir au peuple...

Ascagne qui était dans un coin de la salle à écrire des notes avec l'un des conseillers du gouverneur fut bien surpris de cette entrée. Depuis le début il ne se souciait guère du spectacle désolant des seigneurs qui venaient pavoiser devant le gouverneur, et n'était là que par simple formalité politique. Mais l'entrée de celui-ci le fit stopper l'écriture de son rapport. Il avanca vers le jeune homme, l'inspecta de haut en bas et vu qu'il portait une canne à la manière d'un aveugle.

Quelle audace,.. ou quelle folie t'amène ici ? Cette canne que tu tiens te guide t-elle à ta mort ?

Interpellé par l'homme, l'aveugle sourit:

Monsieur veuillez décliner votre identé.. et commenrt oser vous me menacer, vous lever contre moi alors que je cherche à défendre nos interet ceux du bas peuples? Nous qui travaillons pour ce malotu qui à chercher à nous réduire en esclavage...

Tu représentes le peuple et tu ne me reconnais pas.. ah je comprends mieux .. tu es aveugle..

Et bien sache que tu t'adresse à celui qui a sauvé bien des fois le peuple. Je suis celui que ceux que tu prétend représenter apelle La muraille. Et comprends bien que dans mes paroles il n'y avait aucune menace.. je n'ai jamais tué personne.. Seule mon épée le fait..
Rassure toi, je ne voudrais pas que coule sur elle le sang d'un infirme. Alors si ce n'est pas la folie qui te mène à ton tour de dire qui tu es et de montrer plus de respect à notre seigneur.

Une rumeur commençait à se lever dans la salle, tour à tour chacun cessé sa discutions pour regarder le spectacle qui se déroulé au centre de la pièce.
Un homme, canne à la main et yeux bandé, débitait injures sur injures à l’encontre du gouverneur Telamon, alors même que la cérémonie n’était pas terminée.
Heikel comme les autres ne tarda pas à tourner la tête vers se perturbateur.
Des voix s’élevaient ça et là : « Mettez le à la porte » ; « Il veut donc perdre la langue en plus de la vue » ; « c’est une offense au gouverneur ! ».

-« Ascagne as fait son devoir en interpellant cet individu, mais celui-ci ne semble pas comprendre où il est.
Cela ne m’étonnerait pas qu’il finisse au cachot sous peu. »

Aux dernières paroles de l’aveugle, la foule frémis, il avait franchis un cap qu’il n’aurait jamais du franchir en présence du gouverneur, et dans cette foule nul soutient ne lui serait apporté.

Jansen fut étonné de ne point voir quelqu'un entrer dans la salle du trône et tout d'un coup être présent dans celle-ci... Il lança un juron silencieusement alors qu'un de ses hommes le regardait en espérant ne jamais être dans sa situation.

Télamon chuchotait quelques mots au seigneur Ascagne et aux conseillers sur divers documents qu'il serait nécessaire de revoir et mettre à jour. L'annonceur allait prendre la parole quand un homme interrompit la réception.

Le seigneur Ascagne prit les choses en main.

Quelques gardes se tenaient prêts à agir alors que quelques invités se permettaient de scander divers phrases sur l'apparition de cet infirme.

Une offense à sa personne et des insultes bien rapides de la part d'un homme ne l'ayant entendu que sur la place publique.

Pour la première fois depuis le début de la réception, Télamon se leva. Calmement et avec grâce il resta droit, légèrement sur le côté il irradiait de puissance et de beauté.

Il fit un geste de la main pour faire baisser les armes aux gardes qui attendaient patiemment. Il inclina la tête avec raideur pour regarder l'homme à la canne.

Laissez parler l'homme qui ne décline aucunement son nom et qui oublie les traditions de la politesse...

Mathilde d'Auriel entendit des voix s'élever, elle s'approcha de la dispute qui allait devenir un carnage. La jeune femme aperçut deux hommes en train de se quereller dans la salle du gouverneur. Elle s'approcha des deux hommes, se mit entre eux et dit :

- Je vous prie messieurs, cessez cette dispute. Vous mon seigneur ( s'adressa-t-elle à l'homme non voyant), vous froissez votre peuple en vous montrant dur en paroles, sachez que le peuple ne voudrait pas qu'un homme se comporte mal pour son image. Vous insultez votre peuple en agissant de la sorte, soyez magnanime pour lui. C'est la meilleure des attitudes pour prouver que vous êtes un messager du peuple..non? Quant - à vous , seigneur (dit-elle à l'homme qui se tenait devant le non-voyant), vos intentions sont bonnes mais ce n'est pas en répondant ainsi que vous arrangez la situation . Cessez cette dispute, cela ne sert à rien de se disputer ainsi et vous le savez très bien...

Mathilde d'Auriel s'écarta et laissa le gouverneur avec ces deux hommes.

Ascagne n'apprécia pas qu'on l'interrompe.. mais devant le gouverneur il céda sa place, et retourna dans un coin tentant d'attraper Mathilde d'Auriel par le bras pour lui dire deux mots en privé..

Il tenta d'attraper le bras de la jeune femme (hrp: reussit il ?) et la regarda. Il ne la connaissait pas. Devant ce visage, sa colère s'estompa, mais .. il se cru obligé tout de même de dire:
Ne vous mettez pas en travers de mon chemin. Jamais je n'aurais touché à cet infirme,
Puis il sentit bon d'ajouter.
et si je l'avais fait, je n'aurais pas voulu que mon épée effleure votre visage

Chevalier Asacgne, vous ce fidèle serviteur de notre psedo gouverneur... Vous dites que ce n'est point vous qui avait tué mais qui manipule votre pépée moi peut-etre.. Combien d'innocent sont mort sous les coups que vous leurs avait portés? Combien de femmes, d'enfants sont mort sous vos ordres

Puis se tournant vers le bras droit de l'orde du messie...

Hum je reconnais la la voie de l'homme qui se dit servir bienveillance sont dieux... Un hommes qu'il n'a pas connut... Un simple homme, dont il utilise l'image, pour faire fructifier son économies si le bon bienveillance connaissait cei ils s'en retoiurnerait dans sa tombe...

Enfin se tournant vers l'homme qui lui avait demander de se présenté...

Messire je n'ai d"ordre à recevoir de personne et surement pas d'un prélat, dont la noirceur est si profonde... Mais je vais quand meme donné suite à vote requète... Je me présente mon nom est Syroko, l'aveugle de Khalipsoh'c descendant d'un noble fort connus dont je tairrrais pour lemoment l'identité et d'une de ses femmes que vos hommes violent et tue par simple plaisir...

Puis aux paroles de la jeunes femmes,

Madame vos paroles sont sages elles sont le reflets d'une immenses beautés permettez moi de vous voir....

Il tendit les main vers son visage...

Quand à vous, monsieur la muraille, ne porter pas offense à cette personne car bien qu'infirme, je serais en mesure de vous defier vous un legendaire qui a fait couler tant de sang pour rien obtenir au final...

Ascagne.. se retourna vers l'aveugle.

Je n'ai jamais tué ni donner l'ordre de tuer ni femme.. ni enfant..... ni même d'infirmes.. jusque là.. en tout cas.

Il appela des gardes et leur fit signe d'arrêter l'infirme.

Le Patriarche se faisait attendre. Aucunes réactions de sa part alors que Bienveillance était cité au plus haut point.

Télamon en fut irrité. Il l'insultait sans en donner les raisons et se prenait pour un noble alors qu'il taisait son nom, comme s'il n'assumait point ses dires.

Il parla avec froideur...

Syroko, l'aveugle de Khalipsoh'c,

Nous sommes tous attachés à la terre d'Edénia comment osez vous insulter le seigneur Ascagne et ma personne de la sorte alors que vous ne justifiez ni dire ni n'expliquez pourquoi vous haïssez tant un homme qui a servi les Edéniens depuis son intégration dans les Armées Coloniales ?

Mon arrivée au poste de gouverneur ne signifie pas qu'il me faille entendre de telle élucubrations. Veuillez préciser votre pensée et assumer vos dires de suite.

Jansen optempéra aux ordres du seigneur Ascagne et se rapprocha de l'infirme fol.

Mathilde d'Auriel s'approcha de Syroko et se laissa toucher le visage.Puis elle répondit à tous ceux qui étaient présents :

- S'il vous plait, ne gachez pas cette journée. Que l'on règle ce différent au plus vite.Restez humble en vous expliquant comme nous l'a souligné le gouverneur. Je ne souhaite pas que les rumeurs nous conduisent à nuire les valeurs que nous tentons d'honorer. Soyez cléments les uns, aux autres...
Gouverneur (s'approcha -t-elle et en s 'inclinant lui disant tout bas), laissez au moins pour aujourd'hui cet homme en liberté, quand il aura achevé son explication, ne tombez pas dans le piège de ce qu'on appelle la vengeance...C'est une faveur que je vous demande...

La jeune femme fit quelques pas en arrière.

Heikel lança un regard sombre vers l’infirme, il se permettait d’offenser le Gouverneur, et maintenant il portait atteinte à l’Ordre lui-même.
Heikel sorti légèrement de la foule.

-« Je ne sais qui vous êtes, mais à parler ainsi, vous êtes le plus méprisable de cette assemblée, et il y a pourtant des gens ici que je ne chérie que peu.
Vous prétendez défendre le peuple... quel image du peuple donner vous ici ?
Et de quel peuple vous glorifiez vous d’être le porte parole ?

Le gouverneur Telamon est aimé, le peuple tout comme nous fondons beaucoup d’espoir en lui.
Sachez une chose, nous n’oublions pas, et si cela devait arrivé, IL serait nous le r appeler ! »

Voyant les gardes s’approchaient de l’aveugle, Heikel n’avança pas d’avantage pour ne pas gêner les homme du gouverneur.

Une jeune femme s'avancait pour parler au Gouverneur, mais ses paroles était bien déplacé, comment pouvait elle demander une faveur au gouverneur, et surtout pour un homme tel que celui qui se tenait devant nous...

L'aveugle éclata d'un rire macabre et diabolique quand un homme se saisit de son bras... pour le coinduire vers la sortie...

Je vois que les methodes d'ici sont peu hospitalière et que la loi du plus fort règne. Asacgne, je vous rapporte les faits moulte gens sont venu ce plaindre de votre armées en mon royaume... Et cette place (désignant la porte), ce trone royal, n'a pas à etre souillé par le corps impurs d'un homme sans coeur, sans ames, et sans honneur... A cette place doit sièger la descendance de Bienveillance. et non l'un de ces bouffons, attirés par l'avarice...

Puis interpelant la femme si belle...

Madame je n'ai que faire de votre pîtié, mon père a été assinés par des gueux de leurs espèceset ils s'appretent à refaire de même aujourd'hui... Ainsi le cerle du temps se pepétue...

Les gardes saisirent l'homme. Les paroles de l'infirme confirmèrent sa folie... Royauté en Edénia, cela n'existait point... De plus l'infirme n'était pas roi et ne le serait vraisemblablement pas.

Heimdall se leva et foudroya l'homme du regard.

N'usez point du nom de notre Protecteur ! Bienveillance n'est pas une raillerie que l'on peut employer pour appuyer des folies !

Bienveillance sera clément avec vous du fait de votre courage, mais il n'en sera point ici en Edénia. Les gens rassemblés ici même sont Edéniens et il n'y a point de mots pour qualifier la bêtises et la folie de vos paroles.

Heimdall se rassit furieux.

Télamon fit un geste à Ascagne de procéder...

Veuillez emmener cet homme !

Il se rassit sans prêter plus ample attention à l'homme... Le regard froid et sombre toisant la salle, les mains jointes, les coudes sur les accoudoirs. Nul besoin de dire que Télamon ne tolèrerait plus aucun écart et même de la part de volonté de clémence quelconque.

Mathilde d'Auriel comprit qu'elle avait commis une erreur. Pourtant selon elle, elle voulait bien faire en cessant cette dispute afin d'éviter qu'elle ne se termine en bain de sang. La jeune femme se désola, elle regarda le spectacla ffligeant qui s'offra à elle. Un homme qui insulte sans raison un autre homme est malheureux, car il a dû beaucoup souffert et qu'il essaie de faire tout ce qui est en son pouvoir pour s'exprimer. La jeune femme n'avait qu'en tête de bonnes intentions mais il lui semblait que c'était quelque chose qu'il ne fallait pas commettre, elle se promit de ne plus intervenir dans une telle dispute.

Elle retrouva son protecteur Victor, qui n'était pas bien loin. Elle lui dit :

- Regardez ce que l'Homme est en train de faire, il ne se bat que pour sa fierté et non son honneur, quel gâchis. Je comprends que le gouverneur demande une explication mais si on emploie la violence comme l'ont fait les gardes, ça ne sert à rien. La violence engendre la violence. Mais le gouverneur a raison : je trouve qu'il est clément en agissant ainsi, ne pas réagir comme un homme qui a le sang chaud. Cependant, l'homme aveugle, n'aurait pas dû insulter notre gouverneur, surtout devant tout le monde, il aurait dû s'expliquer seul à seul. J'espère seulment que cette dispute s'arrangera...Voyez ils emmènent l'homme...qui devait être incompris mais aussi un peu fou....enfin....

La jeune noble avait prononcé ces paroles d'une sincérité et d'un bon coeur inimaginable, qu'elle avait les larmes aux yeux.

Après s'être assuré que l'homme avait été conduit aux cachots, Ascagne revint dans la salle du trône, et informa le gouverneur.

C'est fait, là ou il est, il ne nous dérangera plus. Il revient à vous d'établir ou non un procès pour connaitre sa peine.

Puis vers Jansen

Comment a t-il pu rentrer ? Doublez la garde immédiatement à l'entrée!

Télamon semblait d'humeur massacrante, toutefois il hocha la tête sur les paroles de son conseiller.

Nous en reparlerons tout à l'heure, l'homme disposera de son heure de gloire lors de son dernier procés...

Alors qu'il regardait la salle avec intérêt, et attendait la personne suivante, Jansen qui était tout près de son supérieur baissa la tête les sourcils froncés, attendant la sentence.

Comment a t-il pu rentrer ? Doublez la garde immédiatement à l'entrée!...

Jansen s'inclina et sortit de la salle sans courir et sans perturber le reste de la réception. En sortant par les portes de la salle, il ordonna immédiatement de renforcer la garde aux portes du palais et de lui amener les deux imbéciles qui se font appeler Gardes Sâriens... Une erreur de plus et il retrouverait rameur dans les Galères de guerre Coloniales.

C'est à n'y rien conprendre. Comment peut-on tenir de tels discours en ces lieux ? Enyalios pensait qu'Angelo était le pire des provocateur. Comme quoi tout le monde peu se tromper. Ce Syroko rique d'avoir de serieux probleme a l'avenir... ou bien il n'en n'aura plus jamais. Sa seule réussite était de s'être attiré l'ire du Gouverneur et de sa cour. Elle qui voulait se renseigner pour sa jeune soeur, l'occasion s'était envolée. Peut-être une autre se presenterais sous peu, aussi elle et Panoptès se relevérent et rejoignirent le rang des nobles autours d'eux, en discutant discretement de cette "intervention".