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 Chapitre VI : Les Indigènes

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Maedui
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MessageSujet: Chapitre VI : Les Indigènes   Chapitre VI : Les Indigènes EmptyVen 15 Sep - 14:55

Bien qu'il existe différents peuples indigènes, l'un se démarque par sa domination sur les terres où s'établissent les colons.

Le peuple Huantar

Le peuple Huantar est composé de 15 clans, chacun dirigé par un Loa ("Guide") regroupant des centaines de familles qui peuplent un vaste territoire comprenant Edénia. Il s'agit principalement de clans nomades ou semi-nomades qui vinrent de l'ouest entre un et deux millénaires avant l'arrivée des premiers colons, sans cesse à la recherche de points d'eau et de territoires de chasse. Les principaux clans Huantar sont les Huacas, les Huaris et les Huyanas.
En réalité le peuple Huantar est une union symbolique de peuples partageant le culte d'Inti et de douze divinités s'y rattachant. Cette union naquit après bien des guerres et, encore aujourd'hui, si le mot Huantar a tendance à désigner l'histoire et la civilisation de 15 peuples, il existe de nombreuses divergences et les tensions ancestrales sont toujours très vives. Aussi, les rencontres hasardeuses engendrent souvent des guerres pour la possession des points d'eau et des territoires de chasse, vitaux pour la survie de ces peuples nomades (pour la grande majorité). Néanmoins, en certaines occasions les Huantar se regroupent afin de communier ensemble avec les esprits et célébrer Inti qui reste la divinité commune.
Les Huantar possèdent une tradition orale riche et très développée qui passionnent les colons avides de légendes anciennes

Mauno Loa

Comme expliquer ci-dessus, le peuple Huantar est avant tout une union symbolique. A l'origine, les clans étaient au nombre de 14. La légende Huantar raconte que, six siècles avant Bienveillance, il y eut une tentative d'union véritable autour du Mauno Loa. Ce "Guide Divin" fut élu par un collège de prêtres lors de la Cérémonie de la Fumée. Il était sensé exprimer la volonté des dieux. Ses principales missions étaient de défendre, agrandir et embellir le temple d'Inti et de régler les litiges inter-clans afin d'éviter les guerres. Il n'y eut jamais qu'un seul Mauno Loa nommé Kutila. Il était entouré d'une armée de prêtres guerriers. Il tomba gravement malade et fut miraculeusement soigné par le sacrifice de Durga. Quelques années plus tard, il décéda dans son sommeil et les Huantar pensent qu'il retourna près D'inti et veille sur son peuple aux côtés des dieux, devenu divinité lui-même. Plus aucune Cérémonie de la Fumée n'a permis de désigner un nouvel Mauno Loa.

L'arrivée des Huyanas

Les légendes Huantar racontent qu'au commencement Vul, la Mère des peuples, engendra 13 enfants avant d'accoucher de jumeaux. A la naissance de ses jumeaux, Latani, le Dieu Malveillant, enleva l'un des jumeau et l'emporta loin dans les terres du Nord. Les 14 enfants restants formèrent les 14 clans qui composèrent le peuple Huantar à l'origine. Après la disparition du Mauno Loa Kutila, tandis que les guerres entre clans reprenaient, un nouveau peuple, que l'on pense semi-nomade, fit son apparition, les Huyanas. C'était un peuple belliqueux aux guerriers forts et vaillants. De nombreuses guerres l'opposa aux Huantar, puis, au fil du temps, les autres clans s'aperçurent que les Huyanas partageaient leur culte d'Inti et de la plupart de leurs divinités. Alors, les prêtres interprétèrent leur arrivée tardive comme le retour du quinzième enfant de Vul, longtemps retenu par Latani. Les Huyanas furent donc conviés, en raison de leurs croyances à rejoindre le peuple Huantar. Ainsi forment-ils le quinzième clan Huantar

Organisation sociale

Bien que l'organisation sociale des Huantar diffère d'un clan à l'autre, on peut distinguer quelques traits communs à tous. L'organisation sociale est le plus souvent de forme pyramidale où chaque individu a une place définie par sa naissance et un rôle à tenir sa vie durant.
Ainsi tous sont dirigés par le Loa, descendant de l'un des enfants de Vul qui détient en ses mains tous les pouvoirs décisionnels. Il est entouré par un grand prêtre et chaque décision importante est précédée de rites de divinations en tout genre.
Autour du Loa, existe une caste de 'nobles' qui détiennent les connaissances. En réalité, il s'agit le plus souvent de chefs de guerre ou bien de sages ayant une bonne connaissance des lieux (points d'eau,...).
Au même niveau que ces 'nobles', les prêtres remplissent leurs offices en effectuant des offrandes régulières, voire des sacrifices dans certaines circonstances, et en ayant recours à la divination pour aiguiller le travail des castes inférieurs.
Ensuite vient la caste des guerriers, chargés de protéger les familles d'un clan ou bien de la protection d'un lieu défini (temple, point d'eau,...)
Les classes populaires représente la majorité de la population d'un clan et sa force vive. Tous les adultes (par adultes nous entendons tout être humains sorti de l'âge du sevrage - autour de 10 ans) valides sont tenus de fournir des prestations de travail afin de favoriser la survie du groupe.
Enfin, au bas de l'échelle, bien qu'ils ne figurent pas réellement dans l'organisation hiérarchique officielle d'un clan, étant donné leur apport important, nous pouvons citer les esclaves faits prisonniers lors des guerres inter-clan, capturés parmi les peuples minoritaires ou, plus tard, parmi les colons lors d'attaques rapides.

L'esclavage de guerre

Il faut noter que l'esclavage des prisonniers de guerre est un fait normal pour les Huantar. Ainsi, même si les clans entretenaient des rapports ou bien se croisaient (notamment lors de cérémonies), nulle demande de libération ne serait faites. Les Huantar considèrent que l'esclavage est le tribut au déshonneur de ceux qui ont faillis. Ainsi, seule la libération lors de la victoire de leur clan d'origine sur leurs esclavagistes leur permettait d'échapper à l'asservissement. Cependant, dans la plupart des cas ils leur fallaient prouver leur bravoure et leur volonté pour retrouver leur honneur. Dans le cas contraire, ils n'étaient pas plus considéré que les esclaves du clan.
Cependant, cette norme n'existe qu'entre ces clans. En effet, les Huantar estiment que les étrangers n'ont aucun droit sur les indigènes, ce qui inclut leur opposition à l'esclavage des leurs pour le profit des colons.

Pour plus de précisions sur le peuple Huantar, reportez-vous aux posts concernant les Huacas, les Huaris et les Huayanas ci-après et au post sur les cultes Huantar dans le topic Cultes Edéniens.
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Maedui
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MessageSujet: Les Huacas   Chapitre VI : Les Indigènes EmptyVen 15 Sep - 14:56

Nom : Huacas
Loa : Viracocha
Cultes : Inti, Punchao, Durga
Type : sédentaire

Fragments d'histoire
: A l'origine, les Huacas formaient un clan nomade qui se sédentarisa lorsqu'ils domestiquèrent la chèvre, après le règne du Mauno Loa. Ils s'installèrent en apus (petits villages) sur un vaste territoire mais principalement sur les régions côtières. Alors, les prêtres prièrent Punchao afin de bénéficier de ses grâces. Ils bénéficièrent ainsi de pêches exceptionnelles et s'établirent durablement.
Ce mode de vie fut bouleversé à l'arrivée d'étrangers venus de Khorel qui accostèrent sur leurs terres. Tout d'abord, ils furent hostiles aux nouveaux venus et les combattirent farouchement. C'est alors que Bienveillance, le guide à la tête des colons, leur proposa une compensation pécunière en échange de leurs terres. Très vite, certains acceptèrent, comprenant l'avantage dune collaboration avec les étrangers. ILs firent pression sur le Loa Namunao qui finit par accepter l'offre des colons. S'ensuivit une collaboration étroite et les ambassades Haucas auprès du gouverneur sont nombreuses. Les Huacas ttentent d'adoucir le sort de leurs frères indigènes tout en conciliant les intérêts des colons. Malheureusement, ils se retrouvent dans une position difficile. Tandis que les colons sont de plus en plus exaspérés par les attaques incessantes des indigènes, les autres clans Huantar les considèrent de plus en plus comme des traîtres à la solde des Edéniens. Néanmoins, cette collaboration permet d'éviter certains débordements, comme par le passé, tout en leur apportant de nouvelles connaissances.

Cultes, croyances et rituels : Outre le culte permanent au Dieu Inti, les Huacas vouent un culte profond pour Punchao, hérité de leur lointain passé lorsque celui-ci leur accorda ses grâces. Une fois par mois, un requin est offert sur l'autel de Punchao dans le grand apus du Loa Viracocha. De plus, ils vouent un culte à Durga, qui leur confère une bonne santé et une grande longévité.
Par la suite, le culte de Bienveillance se répand chez les Huacas, les tiraillant entre leurs traditions et l'émerveillement de cette nouvelle culture. Certains viennent à le considérer comme une nouvelle divinité de leur panthéon tandis que d'autres murmurent qu'il est la réincarnation d'Inti

Organisation sociale : L'organisation sociale des Huacas est clairement établie. Les Huacas sont sédentaires. Ils se regroupent en apus, l'équivalent de nos villages, dirigé par un membre de la communauté désigné par le Loa. Chaque village dispose de consignes et d'objectifs à atteindre, fixés par le Loa afin d'assurer la pérennité du clan.
Le Loa est entouré de Grands Prêtres, menant les divinations afin d'appuyer les décisions du Loa, et de guerriers d'élite assurant la sécurité des apus. Pour plus d'informations sur l'organisation sociale des Huacas, se reporter au sujet traitant des Huantar (ci-dessus).


Relations guildes et PNJ : Les relations avec la Compagnie du Commerce sont extrêmement tendus, due à la pratique de l'esclavage. De même, ils considèrent les Fils d'Edenia comme des ennemis. Ils ne traitent jamais avec eux sans médiateurs. Bein que la Rose Noire se soit déclarée opposée à l'esclavage, les Huacas les considèrent avec méfiance. En effet, il n'est pas rare qu'un apus soit attaqué par les membres de la Rose Noire à la recherche de butin. Ils entretiennent d'excellents rapports avec les Partisans Khoréliens, alliés de circonstances contre les Fils d'Edénia. La curiosité du Patriarche pour leurs traditions et son respect font que les Huacas voient d'un oeil clément l'Ordre de Bienveillance. Cependant, les tentatives d'évangélisation par la force, bien que rares, suscitent de grands troubles dans leurs rapports


Relations peuples indigènes
: Les Huacas forment un clan relativement pacifique si les autres clans acceptent de payer un tribut pour parcourir librement leurs terres et ne les importunent pas (ce qui implique qu'ils respectent les lieux de cultes Huacas, ce qui est en général le cas, compte tenu du caractère sacré de ces sanctuaires)
Cependant, depuis l'arrivée des colons, leurs relations sont devenues peu à peu tendus, les autres clans appréciant de moins en moins leur collaboration avec les étrangers. Relations de plus en plus distantes avec les Huaris, notamment après que le culte de Bienveillance se sera répandu chez les Huacas. En guerre avec les Huayanas qui les considèrent comme des traîtres envers Inti.

Au sujet des Huacas : Les Huacas sont les médiateurs de la cause indigène. Ils ont toujours le souci de concilier les intérêts des Huantar avec ceux des colons. Ils préfèrent la diplomatie et les compromis aux chocs frontaux. Ils sont amené à organiser des actions militaires à l'encontre des coons (voire des indigènes), lorsque leurs intérêts sont gravement menacés. Néanmoins, ces actions militaires ne sont jamais entamées sans diplomatie préalable (hormis avec les Fils d'Edénia).


Dernière édition par le Ven 29 Sep - 20:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Les Huaris   Chapitre VI : Les Indigènes EmptyVen 15 Sep - 15:00

Nom : Huaris
Loa : Chimù
Cultes : Inti, Durga, Kutila
Type : nomade

Fragments d'histoire : Les Huaris, à l'opposé des Huacas, étaient sédentaires. Ils furent les plus fidèles au Mauno Loa Kutila et, pour cela, ils vénèrent Durga qui le sauva. A la mort de Kutila, les Huaris, qui le considéraient comme l'envoyé d'Inti sur terre, devinrent nomade par foi. Ainsi, ils parcourent les terres indigènes à la recherche de trace du passage d'Inti. Lorsque les étrangers arrivèrent, ils déclarèrent immédiatemment qu'ils étaient une menace pour Inti et souilleraient les terres sacrées. Aussi ils les combattirent par idéologie religieuse plus que par nécessité territoriale. Aujourd'hui, et ce depuis que la gouvernance et l'ordre de Bienveillance reconnaissent l'indépendance des clans indigènes et leur liberté de cultes, ces tensions se sont apaisées bien que certaines factions de colons se plaisent à les raviver. S'ils appuient les tentatives d'ambassades diplomatiques, ils n'hésitent cependant pas à reprendre les armes pour défendre les intérêts des indigènes. Susceptibles et fiers, les négociations avec eux sont âpres mais pas impossible.

Cultes, croyances et rituels : Hormis le culte à Inti commun à tous les Huantar, les Huaris louent Durga, la déesse de la santé et de la pureté. Elle bénit tous leurs repas et leur confère une grande résistance physique, dotant les guerriers d'une grande robustesse. Ils restent fidèles à Kutila tout comme ils l'ont été de son vivant. Ils espèrent retrouver, grace à sa bénédiction, la trace de l'esprit d'Inti. De par la nature de ce culte, les prêtres sont très honorés dans ce clan, car ils sont ceux qui, lorsque les Huaris auront prouvé suffisament leur foi et atteint une pureté morale, les méneront devant Inti réincarné.

Organisation sociale : De par leur nature nomade, l'organisation sociale des Huaris est plus centrée sur l'appartenance d'un individu à un groupe. Les Huaris parcourent les terres en groupe de 10 à 70 individus où chacun a un rôle défini et vital pouir la survie du groupe. Tandis que certains s'occupent de la chasse ou de la cueillette, d'autres conduisent le groupe de point d'eau en points d'eau, tandis que d'autres encore s'occupent de la défense. Le Loa donne les grandes lignes de la conduite de chaque groupe et ordonne les ordres de marche importants. La comunication entre groupe étant vitale, les Huaris sont des maîtres dans le domaine de la concertation et de la coordination. Pour plus d'informations, consultez le post sur les Huantar.

Relations guildes et PNJ : Les Huaris sont extrêmement hostiles envers les membres de la Rose Noire qui détruisent régulièrement les lieux de cultes temporaires, profannant leurs sanctuaires. Ils sont en guerre avec les Fils d'Edenia par principe, estimantleur volonté expansionniste comme une menace future sur leurs possibilités de déplacement. Ils n'entretiennent aucun rapport avec la Compagnie du Commerce dont ils ne comprennent pas le but. Les rapports avec l'Ordre de Bienveillance sont froids et distant. Bien que le patriarche reconnaisse leur culte, ils restent persuadés que l'Eglise vise à instaurer à terme le culte de Bienveillance. Ils entretiennent de bons rapports avec les Partisans Khoréliens qui respectent globalement leurs lieux de cultes et leur mode de vie.

Relations peuples indigènes : Les Huaris étaient de fidèles alliés des Huacas. Mais, de plus en plus, les Huaris s'éloignent d'eux, déçus de leur attitude envers les colons. Les Huaris sont régulièrement en guerre avec les Huyanas pour le contrôle de territoire de chasse et des points d'eau. Néanmoins, ils oublient bien vite leur rivalité et leurs rancoeurs lorsqu'ils s'agit de combiner leurs forces contre les colons.

Au sujet des Huaris : Les Huaris forment un clan très religieux. La religion est leur motivation première. Toutes leurs décisions sont pesées et débattues. Ils sont les gardiens des valeurs du cultes indigènes et ne se privent pas de le rappeler(notamment avec les Huacas).
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MessageSujet: Les Huyanas   Chapitre VI : Les Indigènes EmptyVen 15 Sep - 15:01

Nom : Huyanas
Loa : Chavin
Cultes : Inti, Carhua, Téoti
Type : semi-nomade

Fragments d'histoire : Les Huyanas forment un clan guerrier qui arriva tardivement sur les terres indigènes des Huantar, si bien qu'ils ne furent pas assimilés à des Huantar de prime abord. Ensuite, lorsque les autres clans constatèrent qu'ils partageaient leurs cultes, les Huyanas furent conviés à rejoindre les Huantar.
Cependant, ces faits étant ultérieurs au règne du Mauno Loa, les Huyanas ne considèrent pas nécessaire sa succession et revendiquent leur indépendance. Ainsi ils entrent souvent en guerre avec les autres clans.
A l'arrivée des étrangers, ils ont vu d'un très mauvais oeil les colons qui venaient prendre des terres qui appartenaient de fait aux indigènes. On estime que c'est à leur arrivée que les Huyanas devinrent semi-nomade, s'installant parfois longuement dans la forêt d'Heiden pour préparer des assauts d'envergure. Les tentatives de négociations entre colons et Huyanas sont voués à l'échec, les Huyanas étant trop fiers pour accepter une quelconque solution diplomatique. Les Huyanas sont les meilleurs forgerons indigènes et fabriquent les meilleures armes. Ils sont aussi très doués pour l'art qui reste lier à la guerre.

Cultes, croyances et rituels : Les Huyanas étant arrivés après le règne du Mauno Loa, Ils ne reconnaissent pas le culte de Durga et de Kutila qu'ils ne considèrent pas comme des divinités. Le caractère guerrier des Huyanas les a poussé à considérer Carhua, comme le dieu protecteur du clan, qui leur apporta les techniques de la guerre et de la chasse. Il est vénéré quotidiennement et on lui sacrifie régulièrement un prisonnier. De même, vivant essentiellement de sa création, les Huyanas louent Téoti, la déesse de la nature. De ses grâces, ils tirent leurs maîtrises du camouflage et de la furtivité.

Organisation sociale : L'organisation sociale des Huyanas repose sur le mérite. Si le Loa est un chef incontesté, les nobles tentent toujours de s'attirer ses faveurs de diverses manières. Le Loa est entouré de guerriers d'élite formant une garde personnelle. Les autres guerriers ne sont pas en reste et sont tenus en honneur. Les exploits guerriers sont très vite connus de tous, tout comme sont vite connus les guerriers déshonorés. Le peuple s'affairent à toutes les tâches quotidiennes mais est également appelé à prendre part aux combats. Un système de conventions sociales règlent la hiérarchisation de la société Huyanas et confèrent vêtements et atours à chaque classe. Si ce système peut paraître brutal et inégal de prime abord, il promet aux hommes du communs une véritable promotion sociale pour peu qu'ils se couvrent de gloire au combat.

Relations guildes et PNJ : Ils n'entretiennent aucun bon rapport avec une quelconque guilde. Sont en guerre permanente contre les Fils d'Edenia. Ils mènent de nombreux raids contre la Compagnie du Commerce qui exploitent les indigènes et contre la Rose Noire qui pillent les richesses qui reviennent aux indigènes. De même, L'Ordre de Bienveillance n'est pas reconnu, le culte Huantar étant le seul valable. Enfin, bien que les Partisans Khoréliens respectent les accords passés avec les clans, ils sont toujours considérés comme des ennemis, ayant volés une partie des terres indigènes.


Relations indigènes
: Relations difficiles avec les Huaris. Ils sont souvent en guerre pour le contrôle des points d'eau et des territoires de chasse. Néanmoins, il deviennent souvent des alliés de circonstances lorsqu'il s'agit d'attaquer des colons.

En guerre avec les Huacas qu'ils considèrent comme des traîtres envers Inti. Ils ne respectent aucun engagement pris par les Huacas.

Au sujet des Huyanas : Les Huyanas sont fiers et indépendants. Ils n'obéissent qu'à leur Loa et ne connaissent aucune autre autorité. Il ne connaissent pas la diplomatie et n'agissent que selon leurs intérêts. Pour eux seule la guerre règle les problèmes. Les seuls colons avec lesquelles ils entretiennent des relations sont leurs prisonniers. Les étrangers ne sont dignes que de leur mépris.
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