Je ne sais pas par ou commencer pour vous conter ce récit, qui retrace ma modeste ma vie. Il est difficile en temps qu’homme de ne pas transformer la réalité et c’est pourquoi j’essayerai de ne point embellir ou exagéré cette réalité et essayerai de vous faire comprendre comment j’ai pu devenir ce que je suis. Mon age ne me permet pas de me souvenir de tout et c’est dans un but de rester fidèle que de temps en tant je fouillerai dans quelques archives ou que je ferai appel à de vieux amis.
Le but de ce livre n’est pas de retranscrire ma vie pour me glorifier ou pour nuire a certaine personne ainsi que ma famille ou que mes amis ou encore vous lecteurs mais au contraire de vous conter l’exacte vérité ; c’est ainsi que je commence mon histoire avec le premier souvenir de mon existante : l’arrivé en ces terres vierges.
J’avais seulement huit ans lorsque mon père et ma mère décidèrent de partir avec le bateau pour allez sur les nouvelles terres. En effet nous priment le bateau un matin sans que j’en sois prévenu :
Aller on se réveil, mon garçon ! Nous partons.
La voix de mon père résonnait de toute sa puissance. Me disant de me lever, je lui obéi avec quelque peine. Me frottant les yeux, je lui demanda on nous allions de si bonne heure, et il me répondit que nous allions aujourd’hui naviguer sur l’océan. Je n’étais encore jamais aller sur un bateau mais je marchait souvent auprès du port. A l’annonce de cet événement, je bondit de mon lit et alla m’habiller. Je ne pris garde au valise que portaient mes parents, ni au nombre important embarquant sur le bateau.
Nous avons donc embarqué le matin même et tout enthousiasmer je me rappel avoir courut sur la prou. Malheureusement mes souvenir son trouble et je ne peux exactement vous conter ce qui c’est passé sur le bateau. Tout ce que je me rappel c’est que le voyage fut long et que les gens parlait beaucoup d’un certain Bienveillant qui ne me disait rien à l’époque.
C’est ainsi que haut de trois pommes j’arrivai sur les nouvelles terres. Provoqué par le bousculement des gens descendant des bateau je fit arracher à mes parents. Ne comprenant pas ce qui ce passait je suivit la masse. Tout le monde s’attelèrent a monter un campement primaire pour la survit de tous.
La nuit tombée je n’avais retrouvé mes parents et l’inquiétude s’empara alors de moi. Commençant à pleurer un homme s’avança près de moi et m’amena dans sa tente. Je ne savais ce qui ce passait et je lui donna le nom de ma famille. L’homme regarda dans un document et m’amena à une tente voisine de celle-ci. Mes parents étaient à l’intérieur en train de pleurer ma perte. Ils furent plus que joyeux de me voir saint et sauf.
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